lundi 4 janvier 2010

Science-fiction

Vous avez de la chance que ça me soit repassé par la tête, un peu plus et je ne vous aurai pas fait profiter de mon imagination débordante, vous auriez été déçus hein? ...

Entrons dans le vif du sujet voulez-vous ^^

Mon copain et un pote à lui ont regardé le film Clones ce soir, avec Bruce Willis (Quoa??? Bruce Willis dans le salon??? Mais non à la télé -_- ...). Je n'ai personnellement pas vu ce film, juste la bande annonce.
J'ai alors imaginé une petite variante (ou pas) de ce que ce film pourrait être.

L'idée : Le héros qui vit sa vie via un clone, se retrouve un jour confronté à un évènement qui change son quotidien. Il se retrouve alors dans un milieu ou tout le monde n'a pas de clone, en partant du principe qu'il faut être friqué pour en avoir un. Il croise alors une humaine, pas un clone, qui lui montre ce que c'est la vie dans ce monde fait d'apparence.

Scène 1
Suite à une explosion, la foule paniquée se bouscule dans tout les coins, des coups de feu venus d'on ne sait où poussent notre héro à se retrouver dans une rue sombre et dégueulasse.
Essayant de retrouver son chemin, il s'enfonce de plus en plus et se perd.
Soudain une jeune fille apparait, à l'envers, accroché à une barre situé au-dessus de lui. Elle est brune, cheveux mi-longs, coupé un peu à la garçonne et outrageusement maquillée.
Elle sourit en le voyant et se remet sur ses pattes en atterrissant devant lui.
Elle lui dit : "Hey un morceau de plastique ambulant, il s'est perdu le caoutchouc?"
Lui est interloqué, ne bouge pas, n'a pas peur puisque lui-même est à des kilomètres de là, seul son clone risque d'être abimé.
Il lui répond : "Euh on se connait? ..." suivi d'une réplique que seul Bruce Willis peut dire avec classe et cynisme (mais je fait pas des dialogues moi).
Il lui demande où il est, elle lui répond qu'il est le seul de son type à trainer dans les parages.
Il ne comprend pas : "Tu n'es pas un clone?"
Elle éclate de rire. "Parce que tu crois que je voudrais me balader dans une coquille qui sent le pneu? Non! Et même si j'en avais les moyens, pour rien au monde je ne le voudrais."
Lui, re-interloqué.
"Et oui mon beau, tout le monde n'a pas les moyens de s'offrir un ravalement de façade illimité. Et puis, ça fait quoi, de vivre sa vie dans une machine, d'être un robot? Est-ce que tu te souviens seulement de ce que douleur et souffrance veulent dire?" Elle explose de rire : "je parie que tu n'as même jamais pris un coup de soleil!"
Fin de la scène sur un regard et elle l'emmène pour lui faire découvrir son monde.

Scène 2
Cette scène est plus courte et sans dialogue (paske mon cerveau en voulait pas). On voit nos deux héro sur un toit et on découvre la ville des clones vu d'en haut. Elle lui explique que son monde n'est qu'un monde de "drogué du cybernétisme", de gens qui ont peur de tout, qui ne peuvent pas se passer de leur clones et restent dans leur bulle.
Le monde est en fait totalement pollué, l'horizon est noir et les pluies acides, voila pourquoi les humains ont construit des clones.
Et on termine sur le héro qui se remet en question.

Oui je sais c'est du vu revu et déja vu. Mais j'aime bien l'idée de l'environnement en fait, parce que le monde il peut pas le changer, c'est un monde en décrépitude avancée, comme un cancer en phase terminale. Alors que faire? Quoi qu'il choisisse la fin sera affreuse : Mourir sur son fauteuil aux commandes de son clone ou risque de mourir de maladie dans un monde rongé par la pollution?
J'aimerai bien aller voir ce film au ciné ^^ pas vous?

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